[cette partie ne sera pas publié] plan: cheminement: présenter des éléments, blue print, pour une masculinité.
expliquer les problématique et les incompréhensions
argument:
la faiblesse de construire l'image de soi en opposition aux virilistes
il y a pas de masculinité à idéaliser
l'importance d'être feministe
suite
presenter la proposition faite par bell hooks [fin du plan]
[intro qui parle aux personnes engagées]
(Deconstruit est un meme/ esquerdomacho / tellement vrai qu'il y a plusieurs sketchs sur porta dos fundos, desconstruido https://www.youtube.com/watch?v=vQp21H8DJsY)
[les gens deconstruits n'existent pas] (mythe de l'égalité déjà là) (patriarchat moderne, et les différentes façons que la culture patriarchale peut evoluer pour s'adapter) (la difficulté d'idenfiier un systeme qui evolue, echo a umberto ecco)
"Patriarchy dies hard, and the lingering traces of it in movements and actions can be seen in the aggressive, dominating, and overconfident behavior of many men(and women) involved. Confrontational actions, facing off the cops, though perhaps increasingly necessary, are possibly overused, perhaps because they provide a rare opportunity, in modern societies in peacetime to be such a 'real man'. But while direct action can be a useful tool, unless we also confront the concept of 'real manhood', unless we allow ourselves to feel empathy and to emotionally connect with others, we will never create alternative societies, but just replicas of our current ones. The process of struggle should no less be the subject of out critical scrutiny than the outcome. And in this process, doubt is an ally, not an enemy, because the feelings we have come to trust about gender and race are not necessarily reliable"1
[se baser sur la critique faite par Raj Patel]
[critiquer masculinité toxique plus populaire que masculinité hégémonique] La masculinité toxique ne nous permet pas de faire grand chose, c'est un concept atomisé qui ne mobilise pas d'analyse de l'ensemble des facteurs qui vont influencer notre façon d'être d'agir. Les discussions autour de ce mot se posent sur une morale et des valeurs individuelles. Comme si ne pas avoir une masculinité toxique était une caractéristique personelle souhaitable.
Cela devient problématique lorsque nous construisons notre image de soi en étant non virilistes, prenons par exemple l'utilisation de cette morale pour s'opposer au voile dans d'autres pays. Ce type de discours permet aux hommes européens de construire une image de soi progressiste par rapport à des théocrates oppresseurs. Ce type de construction consiste à associer toute action négative, dans l'exemple l'oppression des femmes, à un groupe extérieur, en contrepartie on fera le lien entre les actions positives, ici la libération des femmes, au groupe intérieur.
Cette approche nous pose problême car l'idée qu'il y a un groupe des bonnes personnes et un groupe de mauvaises personnes nous semble irréaliste. Donc il est possible qu'une personne qui s'identifie comme progréssiste reproduise de l'oppression, la construction de l'image de soi progressiste est donc tâchée. Et la personne sera divisée entre comment elle se voit/veut se voir et ce qu'elle observe
[conclusion] [presenter les masculinités féministes] Comprendre cette variété au délà de l'opposition viriliste et les gentils, comme on peut retrouver chez Connell, est un outil d'émancipation car elle va contre une conception de deux catégories closes, Cela permet de mieux se confronter aux comportements patriarchaux, dans "Cultures of Domination: Race and Gender is Radical Movements" Kala Subbuswami and Raj Patel
"Cultures of Domination: Race and Gender in Radical movements" in Restructuring and Resistance: Diverse Voices of Struggle in Western Europe, Kolya Abramsky (ed.), March 2001, ResResRev:London, p. 541
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